SAVE et le biocontrôle

SAVE et le biocontrôle

Vigne, le biocontrôle est sur les rangs. SAVE teste différentes méthodes de biocontrôle pour réduire l’utilisation de produits phytosanitaires contre les ravageurs ou maladies de la vigne. Reportage INRAE

Afin d’en réduire l'usage des produits phytosanitaires, et parmi les leviers agroécologiques, les techniques du biocontrôle commencent à s’immiscer dans les pratiques des vignerons. Ces méthodes consistent à utiliser et optimiser les mécanismes de régulations naturelles qui sont les lois de régulations environnementales. Il peut s’agir d’insectes prédateurs qui éliminent ceux qui attaquent la vigne, de l’application de bactéries ou champignons pour lutter contre des maladies, l’utilisation de phéromones (molécules odorantes régulant les distances entre individus d’une même espèce) pour empêcher l’accouplement et donc la reproduction… on parle de confusion sexuelle.

À INRAE Nouvelle-Aquitaine Bordeaux, SAVE teste différentes méthodes de biocontrôle pour réduire l’utilisation de produits phytosanitaires contre les ravageurs ou maladies de la vigne : insectes prédateurs ou parasitoides, micro- ou macro-organismes notamment. Plusieurs pistes actuellement à l’étude sont prometteuses et devraient se traduire à terme par le transfert et l’application de solutions concrètes utilisables par les viticulteurs.

biocontrole SAVE

Voir aussi